Homme de lettres et peintre, Louis Calaferte a vécu les 20 dernières années de sa vie à Blaisy-Bas, en Côte-d’Or. Des collégiens de Côte-d’Or lui rendent hommage avec la complicité d’une compagnie de théâtre.
L’actrice (Laurence Boyenval) rend le personnage de Claire poignante, juste, touchante et insaisissable à la fois. Piégée dans ce qu’elle ne peut expliquer, épuisée de ne pas comprendre ses agissements, celle-ci est en réalité poussée par une folie qu’elle finit par reconnaître.
http://kulturrama.blogspot.com/2013/02/theatre-lamante-anglaise-folie-et.html
la complicité des deux protagonistes allège la culpabilité et la souffrance de la première et dédramatise les sentiments que pourrait ressentir le spectateur. Celui-ci sort de la salle, non pas encombré d’une histoire qui lui rappellerait une situation vaguement ou durement vécue, mais ému et bienveillant à l’égard de ceux qui souffrent de ce « problème de santé publique » si justement abordé.
https://www.dijonbeaunemag.fr/spectacle-grande-histoire-damour/
Le Rocher des Doms imagine une Phèdre, post-mortem, en proie à ses souvenirs et ses émotions, en quête d’une explication sur cette fatalité afin de pouvoir trouver enfin le repos.
https://www.bienpublic.com/loisirs/2012/05/25/phedre-en-quete-de-verite-a-salives-et-talant
